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      La jument décillée
      Cris féminins et regards lucides sur Dieu et les femmes
       

      auteure : Marie-France HOUDART
      Le Blog de MarieF Houdart
       

      161 p.
      Format 160 x 210
      Novembre 2019
      ISBN : 978-2-916512-50-1
      PVP : 19.50 € TTC

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      Un nouvel essai qui donne à penser (Article de "La Montagne")

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      Résumé 

      Pour comprendre ce livre au titre énigmatique, La jument dessillée, observez bien sa couverture. En quatrième, une photo de classe et ses 23 fillettes, et une  ardoise : nous sommes dans une école d’Algérie en 1953. Les fillettes sont indigènes, pour ne pas dire musulmanes, sauf une petite blonde, à gauche, l’auteure de ce livre.
      Retournez-le. En première couverture : trois symboles religieux, celui de chacun des monothéismes : juif, chrétien, et musulman. Au centre une chaîne et son pendentif : une “main de Fatma“, symbolisant la femme en Islam. Au-dessus, un sous-titre : Cris féminins et regards lucides sur Dieu Un et les femmes. Vous avez compris.
      Reste le titre. Cette jument était celle de la jeune Germaine Tillion, en mission ethnologique dans les Aurès, celle qui la menait de lieu en lieu à la découverte de ses habitants et de leurs traditions. Solitaire sur son dos, sans doute l’ethnologue confiait-elle à sa monture, au long des chemins de sable et de pierres, tout le fruit de ses réflexions sur le monde, car l’ethnologie, lui explique-t-elle, « dessille » les yeux, donne de bonnes lunettes pour comprendre les sociétés. A moi aussi, l’ethnologie a ouvert les yeux. 
      A travers des monologues, voire des cris de femmes, alternant avec des réflexions de fond, où elle donne la parole à de nombreux chercheurs sur : les croyances, l’origine des religions, leur utilisation…,  l’auteur a voulu explorer la place à laquelle le Dieu unique des monothéismes a assigné les femmes, et la raison des violences contemporaines qui s’expriment en son nom.
      Un livre qui parle, qui interpelle, qui questionne et qui, elle l’espère, « dessillera les yeux » de ceux qui les avaient encore cousus, comme ceux des faucons de dressage dont on décousait enfin les paupières avant de les lancer ver le ciel.


       
       
      L'auteure
      Marie-France Houdart est ethnologue.
      Originaire de l’est de la France, après une enfance algérienne, elle mène des études de lettres à Nancy, puis d’ethnologie à Paris. Un travail de thèse la mène vers une communauté paysanne des Andes.
      En 1975, avec son mari qui s’intéresse à la forêt limousine et à son utilisation, elle s’installe en Limousin, où elle découvre, étudie et donne à connaître d’autres richesses mal connues de la région : un patrimoine humain plus qu’architectural, immatériel plus que matériel, celui des manières d’être, de faire, de raconter, de croire… Elle est l’auteure de nombreux ouvrages (Pays et paysans du Limousin, Le secret de la rouelle, C’est pas les femmes…)
      Elle a aussi créé en 2003 Maiade éditions, qui donne la parole à des auteurs qui ont quelque chose d’essentiel à dire sur l’histoire de ce pays.
      La place des femmes, la religion… Deux thèmes entremêlés sur lesquels elle ne cesse de s’interroger.
       
       
       

      Introduction complice (extraits)

      Marie-France Houdart
      Gülsen Yildirim

      Une petite construction vitrée, colorée d’affiches et de dessins d’enfants, aux pieds des HLM, entre près, supermarché et autoroute : c’est le local. Tous les soirs, les enfants s’y retrouvent pour l’aide aux devoirs. C’est là que je les ai connus, eux et leurs parents. Leur histoire est étonnante et j’admire leur courage.
      Quelques années plus tard, en 2008, une conférence est organisée à Limoges autour du thème : “Les femmes et l’école” (1). L’une et l’autre, la juriste et l’ethnologue, nous nous y sommes retrouvées, pour parler, chacune dans notre domaine, d’un thème qui nous tient toujours à cœur, celui de l’émancipation des femmes grâce à l‘école, et notamment celui de la scolarité des filles de parents immigrés. Depuis, nous n’avons cessé de nous rencontrer, parfois d’œuvrer ensemble, autour des problèmes de femmes, d’éducation, d’immigration et d’intégration, de banlieues ou de ruralité, de religion et de laïcité, et de toutes les questions de société de notre monde…
      Suffisamment de points de convergences sont apparus entre nous pour que nous décidions d’en faire un livre, chacune apportant son éclairage et ses compétences, mais aussi ses expériences. Mais quelle légitimité avions-nous pour reprendre des sujets si débattus aujourd’hui ? D’où prétendions-nous parler (pour reprendre une formule en vigueur) ? D’où ? 
      (…)
      Entre toutes les deux, ce furent des heures de discussions foisonnantes, nourries des nombreuses et très diverses lectures de chacune, la juriste corrigeant l’ethnologue et ses simplifications, l’ethnologue apportant les lumières sur d’autres cultures et sur leur organisation sociale, le pouvoir, le fait religieux…
      Au fur et à mesure des rencontres, devant la complexité des problèmes posés quelques divergences de fond sont apparues peu à peu entre nous, tenant à nos approches et à nos personnalités différentes. 
      (…)
      Dans ce tome premier, qui donc me revenait, les thèmes abordés m’ont paru englobés dans les deux éléments de son sous-titre. “Cris féminins” disent la douleur, “Dieu et les femmes” désignent un présumé responsable. Des filles, des femmes, soit la moitié des forces vives d’une société, avaient été, étaient toujours étouffées, cachées, surveillées, au nom d’un Dieu. 
      Reprenant la double approche de la proximité vécue et du recul historique, j’ai fait alterner et se croiser des monologues de femmes de toutes époques, toutes origines et toutes opinions, de droite comme de gauche, croyantes ou non, avec des paroles d’experts, historiens, sociologues et ethno/anthropologues notamment, apportant chacun l’éclairage de leur discipline. Chacune de ces femmes donne, à la première personne, sa propre vision des choses, réelle ou reconstituée à partir d’œuvres écrites ou de récits oraux. Elles représentent comme autant de témoins particuliers d’une véritable enquête qui vise à remonter à l’origine des sociétés, de leurs religions et notamment des trois monothéismes qui nous ont formés et nous unissent en dépit de tout.
      J’ai surtout voulu faire la place belle à la démarche ethnologique, celle de Germaine Tillion notamment. C’est parce qu’elle fut une grande ethnologue de l’Aurès qu’elle put être, par la suite, une grande résistante, car ces années passées à chevaucher sur sa jument de village en pèlerinage et d’une famille à une autre, lui avaient appris à “décrypter” les sociétés, à démonter les mécanismes oppresseurs pour mieux les dominer. Elle nous a montré comment mettre, à notre tour, de bonnes lunettes pour être moins “niais” devant les comportements humains, pour voir soudain clair, comme ces oiseaux de proie dont on ouvrait un jour les yeux cousus. 
      Alors, peut-être serons-nous, à la fin de ces pages, semblables à “La Jument décillée” de Germaine Tillion, un peu plus clairvoyant sur des problèmes qui nous viennent de si loin et qui, plus que jamais, déchirent le monde… (en toute humilité, ce serait moins souhait)
       … en attendant de découvrir, d’ici quelque temps, les réflexions de notre juriste lucide et pragmatique.



      Quelques extraits à écouter

      Lus par Marie-France Houdart

       1. « Je suis Chmama, la jument de Germaine »

      2. « Et moi, c’est Epifania, de Cuenca »

      3. « Mon nom est Hélène »

      4. « Moi, je suis le chat de Germaine »

      5. « Yahvé et la faute des femmes »

      6. « Le troisième monothéisme ou l’impossible doute »

      7. « Nous, les femmes insoumises des pays d’Allah »

       8. « C’est bien moi, Khadija, son épouse »
       
       
       
       
       
       

      Un nouvel essai qui donne à penser (Article de "La Montagne"






















       


       
       
       
      Table des matières

      1. Enfances réminiscences  7 
      Algérie 1953 : une fillette dans sa classe 8
      Je suis Yamina, élève de CM2 en 53  16
      Pour tout le monde je suis Zézé, partie à Touggourt 19
      Nous sommes les carnets d’Isabelle, devenue Mahmoud 21
      Je m’appelle Fadhma, on me nomma Marguerite 25
      Moi Renée, mariée à Dieu et devenue sœur Dominique 27
      Je suis Chmama, la jument de Germaine 29
      2. Du mariage, des femmes, de la terre et de Dieu 36
      Un jour l’ethnologie  36
      Moi, je suis l’Anna, paysanne de Lorraine 37 
      Et moi, c’est Epifania, de Cuenca 39
      Pays dominés  41
      Je suis la Françoise de La Gane 42
      Mon nom est Hélène 44
      La place des femmes : tout dépend de l’économie 45 
      Je suis le chat de Germaine 49
      Limousin : des émigrés aux immigrés 51 
      Ils m’avaient surnommée Soraya 55
      C’est encore moi, le chat de Germaine 57
      Accueillantes épouses des voyageurs 63 
      Qu’est-ce que croire ? 63
      Je suis Lydia, mais ils m’appellent “collabeur” 70
      D’une multitude à Un seul 72
      Leila-la-haine, c’est comme ça qu’on m’appelle 78
      De Un seul à Trois 84
      3. L’apocalypse pour le Paradis
      Nous sommes Germaine et Jacqueline 87
      Abraham, premier “soumis” 92
      Mon père m’a appelée Kahina 97
      Leila-la-haine, depuis le Sham 98
      Plus aucun doute 100
      Je suis l’Umma 104
      C’est de nouveau moi, Lydia, la “collabeur” 107
      D’autres voix, d’autres approches 110
      Je suis une rescapée en miettes 116
      Pur et impur 120
      Selim, oui je suis un garçon 126
      Nous les femmes insoumises des pays d’Allah 128
      Improbable science 131
      Nous sommes Annie, Patricia, Claire 132
      Celles qui ont dit non 135
      Leila-la-haine, toujours au Sham 138
      Je suis Thanit, la Berbère en Arabie 140
      Une thèse en 1913 : les captives de la conquête 142
      C’est moi, Khadija, son épouse 152
      Conclusion 155
      Bibliographie 158
      Index 160


      Conclusion (extraits)

      Voilà ce que j’ai cru comprendre. Il m’a donc semblé que tout partait d’une histoire d’agriculture. 
      • Dans les régions fertiles du Moyen Orient, les chasseurs-cueilleurs nomades ont appris à cultiver et se sont sédentarisés pour récolter et défendre les terres qu’ils s’étaient appropriées. D’exogames, ils sont devenus endogames (p. 57-59) pour transmettre ces terres aux seuls garçons de la famille et marier les filles à leurs cousins.
      • Les sociétés, désormais guerrières et conquérantes, se sont choisi chacune un dieu protecteur et lui aussi conquérant. Puis, de ces multiples dieux concurrents et guerriers, on est passé à l’idée d’un Dieu Unique tout-puissant. Le monothéisme s’est imposé, pour finalement se scinder en trois religions “monothéistes” rivales et exclusives, qui se sont répandues dans toutes les régions qui entourent la Méditerranée et au-delà, où elles s’affrontent toujours.
      • Pour toutes les trois, la sujétion de la femme, sur laquelle repose tout le système économico-social, est devenue capitale. Le voilage, devenu “le” voile, qui la cache à la vue des hommes auxquels elle n’est pas destinée, est aujourd’hui comme le symbole du troisième monothéisme. 
      • Cette femme interdite, désignée parce que cachée, est alors devenue objet de fantasme et de frustration, tandis que la femme non voilée est supposée permise. A des degrés divers dans les trois monothéismes, au degré supérieur dans le dernier des trois, la virginité des filles est surveillée, car elle représente un danger de pénétration par un sang étranger, de souillure et d’atteinte à l’honneur familial.
      Tout cela ne relève pas, à l’origine, d’une question de religion.?Mais la religion, et donc “Dieu”, sont utilisés pour rendre l’interdit sacré, inviolable, contrôlé par la fraternité des croyants, qui ne laisse nulle place à la déviance et au doute… Les conséquences en sont aujourd’hui les guerres meurtrières qui continuent à déchirer le monde de nos trois monothéismes rivaux, et par contrecoup la violence de nos sociétés.
      Mais direz-vous : les prophètes du Christianisme et de l’Islam (le Judaïsme attendant toujours le sien), Jésus, Mahomet, étaient des hommes de bonne volonté, qui ne voulaient que la concorde, la justice, la charité… Sans doute. Mais pour défendre un message, il y faut une organisation, des moyens, des tactiques, et une parole unique dont il est interdit de s’écarter : la parole prophétique est alors quelque peu détournée au bénéfice d’un pouvoir théologico-politique.
      En effet. Mais que faites-vous de la foi, la foi profonde, celle d’une Isabelle Eberhardt par exemple, convertie à l’Islam. La foi profonde de tous les croyants sincères, quelle que soit leur religion, qui y puisent leur force. En dépit de toutes les explications rationalistes, la foi reste un mystère qui soude, protège, réconforte, un élan de l’âme vers un ailleurs plus beau, vers quelque chose d’indicible. La foi est respectable, légitime. La croyance en autre chose nous a faits humains.
      Certes. Mais parce qu’elle est ce quelque chose qui soude et emporte, la foi a été et reste à la merci des pouvoirs politiques qui fonde dessus le maintien de l’ordre qu’ils veulent imposer et le mécanisme de toutes les oppressions. C’est en ce sens que Germaine Tillion nous a appris à y voir clair.
      (…)
      Un des problèmes actuels est posé par un simple tissu. Les historiens et anthropologues nous ont éclairés sur l’origine de ce qui n’était qu’un rideau. Rappelons-nous l’explication de M.-H. Hocine Benkheira : pour l’Islam, le pire danger, face à l’Occident, est la confusion, ce tabbaruj qui mêle, trouble, détruit l’ordre voulu par le Dieu Un. D’où l’importance capitale de ce voile qui sépare, marque les frontières et les convictions.
      Or ce mot de “voile” désigne des réalités très différentes selon qu'on est libre ou pas de le porter et comment.
      1/ Dans les pays soumis à un régime islamiste autoritaire, le port de ce tissu souvent noir et très couvrant, est une obligation dont le nom respect vaut la prison, voire la mort. Des femmes risquent leur vie pour oser s’y soustraire.
      2/ Dans les pays d’immigration, tous les degrés sont possibles, non pas dans le refus mais dans la volonté ou la façon de le mettre quand on est plutôt incité à l’enlever :
      (…)
      Comment distinguer celle qui pratique une religion paisible, parce qu’elle y croit, et celle qui obéit à des mots d’ordre subversifs, chargés de violence radicale, et veut se placer en drapeau dans le paysage ?
      Non, tous les Français ne sont pas égaux devant la chance, français de souche ou immigrés, paysans, ouvriers, employés… Tous ne s’en sortent pas. Ceux qui crient à la victimisation sont de vraies victimes, on veut le croire, mais parfois se complaisent dans un rôle qui dispense d’agir de façon constructive. Même si on l’est, si on l’a été, la solution pour dépasser cet état est de puiser en soi les forces qui font naître la résilience.
      Et à voir surgir tant de noms à consonance étrangère et qui n’étonnent même plus, celui de femmes notamment : présentatrices TV, actrices, sportives, entrepreneuses, professeures, femmes politiques et élues de tous bords, intellectuelles, artistes, chef d’orchestre, chanteuses, imame même…, toutes ces femmes qui enrichissent notre société de leurs talents, je me dis qu’elles ont sûrement été oh combien combattives et courageuses ! j’en ai rencontré plusieurs. 
      (…)
      On pourra trouver ma vision partielle, à courte vue, lucide sur certains points, aveugle sur d’autre. Sans doute. Mais j’ai pensé que l’anthropologie, même si elle n’explique pas tout, avait son mot à dire dans le débat.
       
       

      Un nouvel essai qui donne à penser (Article de "La Montagne"












       


       
       



       
       
       
       
       
       
       
       
       
       
       
       
      Les lecteurs nous écrivent












      C’est une première pour moi, mais je tiens à remercier Marie-France HOUDART pour son œuvre salvatrice : la Jument décillée que j’ai eu la chance de découvrir par hasard en librairie ; élevée à la campagne et, comme la plupart des (presque) vieux de ma génération ,” sous le bénitier”, le temps de maturation pour se  libérer du joug de la mythologie judéo-chrétienne, choisir le rationnel tellement plus plausible, moins destructeur, peut être long. La jument de Germaine m’a entrainée sur des chemins que je ne connaissais pas et que je recommande à mon entourage.

      Bernadette CONSTANTIN
      (Foncière !  à Madranges (Corrèze)


      Quel livre je viens de terminer ! Par ces temps de déluge et de nouveaux virus 
      Riche, dense, infiniment érudit sur les religions écrit par l'ethnologue avisée que tu es et aéré  par ton talent de conteuse pour ces cris  féminins et masculin...
      Je savais bien moi qui viens de parents totalement athées pour différentes raisons d'ailleurs 
      et que j'avais pas mal voyagé dans differents pays et cultures je savais bien que les hommes depuis la nuit des temps avaient inventé toutes sortes de dieux pour mieux dominer et contraindre leurs congénères. 
      Mais là dans ce livre tu as fait un formidable travail  d'analyse qui devrait toucher au-delà de ton lectorat habituel dans la région.  J'espère vraiment que tu as des contacts au niveau national ! 
      Puissant j'ai du relire certains passages  plusieurs fois en particulier la partie qui concerne le travail de recherche de Pascal Boyer que je ne connaissais pas
      Michèle
      … tout cela reste bien secondaire par rapport à la qualité de l’ouvrage, son contenu riche de références et d’informations pertinentes ; merci d’avoir publié ce livre, Maryse et moi n’avons qu’un seul regret, c’est d’imaginer que tant de personnes (hommes et femmes) qui auraient besoin de le lire n’en profiteront certainement jamais ! Mais modestement on essaiera d’en faire la promotion à notre échelle. 
      Guy et Maryse

      Quant à La jument décillée....et bien...voilà une " pépite"  (Je pèse mes mots), qui mérite vraiment d'être connue. !!!
      Certes la Sociologie fait partie de mes différents centres d'intérêts, mais au-delà de cette spécificité, j'y ai retrouvé le soin particulier que tu portes
      à la qualité littéraire, ton art de la narration lorsque tu évoques (fusse-t-il avec pudeur) ton enfance en Algérie, et tous ces témoignages très éclairants !

      J'ai particulièrement apprécié nombre de chapitres où tu exposes les mécanismes par lesquels se fondent les phénomènes liés à la Foi ou toute forme de croyances,
      les fondements des rituels, et leurs transpositions pour l'individu comme pour le collectif. Très intéressant également: L'impact du milieu (environnement) sur le développement des monothéismes; le fait que la religion est rarement un choix mais un héritage endogène....
      Antoine

      J’en suis à la moitié de la lecture de l’ouvrage. Remarquable. Des souvenirs et des témoignages, un thème oh combien actuel, et bien sûr la pédagogie vivante sur l’approche ethnologique…
      Frédéric

       

         
























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