Le cœur qui voulait… vivre
C’est l’histoire d’un cœur serré, dur comme pierre, prisonnier, prêt à sombrer. Et puis, un oiseau chante, le monde lui envoie des messages, et le voilà qui reprend courage, qui s’ouvre…, qui éclate de bonheur, parce qu’il y a cru. Les aquarelles de Martine Peucker Braun nous emmènent dans un voyage plein d’espoir, depuis le gouffre de la douleur jusqu’au septième ciel de l’amour. |
Notre cœur est l'organe de notre vie, son moteur. Ses pulsations rythment nos vies. Mais nous y avons placé aussi le centre de nos émotions. Un cœur qui bat, mais aussi un cœur qui aime, qui pleure, qui s'émerveille, qui compatit, partage ou se révolte, qui désespère ou bien espère. C'est ce que nous racontent les merveilleuses aquarelles de Martine Peucker-Braun qui a trouvé sa source dans les multiples expressions qui ont le cœur pour sujet : cœur de pierre, cœur serré, cœur brisé… cœur en fête… Au début, un cœur dans la tourmente des orages de la vie, qui sombre à terre, se serre, se resserre, se durcit, froid comme une pierre 
qui se laisse abandonné aux forces de la tourmente. Comme s'il ne voulait, ne pouvait plus battre. Bat-il toujours ?
Alors le cœur renaît, encore envahi de lierres et lianes qui le retiennent (cœur en friches )
Mais un peu d'amour (cœur message, ) et tout s'enchaîne pour avoir le cœur en fête et s'enflammer d'amour (cœur en fête )
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